Dimes : comment faire ?
Q. Comment se font les dimes "Teroumot ouma'asserot" ?
R. Le prélèvements des teroumot ouma'aserot "dîmes" prévues par la Tora (Deut. ch. 14 et 18, Nb. 18) s'effectuent de la façon suivante:
1/ Une quantité toute petite quantité est prélevée pour être donnée au cohen. C'est la terouma guedola.
2/ 10% de ce qui reste est prélevé et donné au lévy. C'est le ma'asser richone. Le levy doit prélever 10% de ce qu'il a reçu et le donner au cohen. C'est la teroumat ma'asser.
3/ 10% de ce qui reste (après avoir prélevé C'est la terouma guedola et le ma'asser richone) est prélevé. C'est le ma'asser 'ani. Cette dîme qui est consommée à Jérusalem ne change pas de propriétaire.
4/ Les 3me et 6me années du cycle de la chemita, le prélèvement du ma'asser chéni est remplacé, dans les mêmes proportions, par un autre prélèvement destiné aux pauvres : le ma'asser 'ani.
De nos jours, tout le monde étant impur et personne ne pouvant prouver sa filiation (cohen , levy), terouma guedola et teroumat ma'asser sont détruits "proprement", le ma'asser chéni est racheté -c'est à dire que sa sainteté est transférée sur une pièce de monnaie qui une fois "sainte" ne peut plus être utilisée-, enfin, ce qui reste du ma'asser richone après prélèvement de la teroumat ma'asser, et le ma'asser 'ani sont consommés.
R. Le prélèvements des teroumot ouma'aserot "dîmes" prévues par la Tora (Deut. ch. 14 et 18, Nb. 18) s'effectuent de la façon suivante:
1/ Une quantité toute petite quantité est prélevée pour être donnée au cohen. C'est la terouma guedola.
2/ 10% de ce qui reste est prélevé et donné au lévy. C'est le ma'asser richone. Le levy doit prélever 10% de ce qu'il a reçu et le donner au cohen. C'est la teroumat ma'asser.
3/ 10% de ce qui reste (après avoir prélevé C'est la terouma guedola et le ma'asser richone) est prélevé. C'est le ma'asser 'ani. Cette dîme qui est consommée à Jérusalem ne change pas de propriétaire.
4/ Les 3me et 6me années du cycle de la chemita, le prélèvement du ma'asser chéni est remplacé, dans les mêmes proportions, par un autre prélèvement destiné aux pauvres : le ma'asser 'ani.
De nos jours, tout le monde étant impur et personne ne pouvant prouver sa filiation (cohen , levy), terouma guedola et teroumat ma'asser sont détruits "proprement", le ma'asser chéni est racheté -c'est à dire que sa sainteté est transférée sur une pièce de monnaie qui une fois "sainte" ne peut plus être utilisée-, enfin, ce qui reste du ma'asser richone après prélèvement de la teroumat ma'asser, et le ma'asser 'ani sont consommés.
Rabbin Pierre-Yves Bauer
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