Halakha du jour : Hanouka et les femmes
Les femmes sont astreintes à la Mitsva de Hadlaka (allumage) car elles aussi ont bénéficié du Ness (miracle). C'est pourquoi, si un homme marié ne peut pas allumer un soir de Hanouka (ou plusieurs) car il se trouve éloigné de chez lui, il convient que celui-ci délègue la responsabilité de la Mitsva à son épouse, et que celle-ci allume les Nerot en son absence; il sera ainsi acquitté de la Mitsva même s’il n’assiste pas à la Hadlaka...
Maran Rav Ovadia Yossef שליטא a écrit, que si le mari compte rentrer tard dans la nuit, il est préférable à priori que sa femme allume seule et tôt, sans son mari plutôt que de l'attendre et de retarder la Mitsva; ce qui ne serait valable qu'à posteriori.
La particularité de cette Mitsva est que lorsque la femme allume les Nerot de Hanoukka, en l'absence de son mari, ceci est considéré comme si lui-même l'avait accomplie, en vertu du principe: "Ichto Kégoufo" (sa femme est comme lui-même).
Cependant, pour le Minhag Ashkénaze, où chacun allume sa Hanoukia, si le mari peut allumer à l'endroit où il se trouve, il le fera à ce moment là, sans Berakha, tandis que la femme allumera à la maison avec Berakha.
Bien que les femmes soient soumises à la Mitsva de Hadlaka, lorsque le mari se trouve à la maison, ce sera lui qui allumera, tandis que sa femme et ses enfants s'acquitteront par son allumage; il en est de même pour le Minhag Ashkénaze où chaque membre de la maisonnée allume, la femme et les filles, s'acquitteront par la Hadlaka du chef de famille (seulement les garçons allumeront).
KOL TOUV.
Traduction et adaptation par Rav F. Elbaze
Maran Rav Ovadia Yossef שליטא a écrit, que si le mari compte rentrer tard dans la nuit, il est préférable à priori que sa femme allume seule et tôt, sans son mari plutôt que de l'attendre et de retarder la Mitsva; ce qui ne serait valable qu'à posteriori.
La particularité de cette Mitsva est que lorsque la femme allume les Nerot de Hanoukka, en l'absence de son mari, ceci est considéré comme si lui-même l'avait accomplie, en vertu du principe: "Ichto Kégoufo" (sa femme est comme lui-même).
Cependant, pour le Minhag Ashkénaze, où chacun allume sa Hanoukia, si le mari peut allumer à l'endroit où il se trouve, il le fera à ce moment là, sans Berakha, tandis que la femme allumera à la maison avec Berakha.
Bien que les femmes soient soumises à la Mitsva de Hadlaka, lorsque le mari se trouve à la maison, ce sera lui qui allumera, tandis que sa femme et ses enfants s'acquitteront par son allumage; il en est de même pour le Minhag Ashkénaze où chaque membre de la maisonnée allume, la femme et les filles, s'acquitteront par la Hadlaka du chef de famille (seulement les garçons allumeront).
KOL TOUV.
Traduction et adaptation par Rav F. Elbaze
Libellés : halakha, rav Ovadia Yossef
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