Halakha du jour : la Havdala pour les femmes
Les femmes sont astreintes par la Thora à l’obligation de faire la Havdala à la fin du Shabbat, de Yom Tov et de Yom Kippour.
Les femmes ont pris l’habitude de ne pas goûter la coupe de vin de la Havdala et ne goûtent que celle du quiddouch pour montrer combien cette Mitsva leur est chère. Mais lorsqu’ une femme fait le Havdala elle-même, il est évident qu’elle doit la boire, de même que doit le faire un homme dans ce cas.
Lorsqu’une femme écoute la Havdala, elle doit avoir l’intention de s’en acquitter. Il faut bien écouter chacune de ses bénédictions, y répondre amen, et ne pas dire Baroukh hou oubaroukh chémo, ni s’interrompre en parlant depuis le début de la Havdala jusqu'à ce que celui qui fait la Havdala ait fini de boire le vin. Elle doit s’asseoir pour l’écouter et ne pas se promener dans la maison pendant ce temps.
Les femmes ont aussi l’obligation de prendre un quatrième repas à la fin du Shabbat et, à priori, il est recommandé d’y manger du pain. Si c’est impossible, on y mangera un gâteau ; si ce n’est pas possible non plus, on se contentera de fruits. (Faire melavé malka- quatrième repas- à la fin du Shabbat, est une ségoula pour un accouchement facile).
KOL TOUV
Traduction et adaptation par Rav F. Elbaze
Les femmes ont pris l’habitude de ne pas goûter la coupe de vin de la Havdala et ne goûtent que celle du quiddouch pour montrer combien cette Mitsva leur est chère. Mais lorsqu’ une femme fait le Havdala elle-même, il est évident qu’elle doit la boire, de même que doit le faire un homme dans ce cas.
Lorsqu’une femme écoute la Havdala, elle doit avoir l’intention de s’en acquitter. Il faut bien écouter chacune de ses bénédictions, y répondre amen, et ne pas dire Baroukh hou oubaroukh chémo, ni s’interrompre en parlant depuis le début de la Havdala jusqu'à ce que celui qui fait la Havdala ait fini de boire le vin. Elle doit s’asseoir pour l’écouter et ne pas se promener dans la maison pendant ce temps.
Les femmes ont aussi l’obligation de prendre un quatrième repas à la fin du Shabbat et, à priori, il est recommandé d’y manger du pain. Si c’est impossible, on y mangera un gâteau ; si ce n’est pas possible non plus, on se contentera de fruits. (Faire melavé malka- quatrième repas- à la fin du Shabbat, est une ségoula pour un accouchement facile).
KOL TOUV
Traduction et adaptation par Rav F. Elbaze
Libellés : halakha, rav Ovadia Yossef
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