Halakha du jour : Berakhot du matin pour les femmes
Les femmes ont le devoir de dire chaque jour les Berakhot du matin, au même titre que les hommes, à l’exception de « Chélo assani Icha », qu’elles remplaceront par « Cheassani Kirsono », sans le Chem et Malkhout (Nom d’Hachem et Sa Royauté)...
Elles diront les bénédictions « Chélo Assani Goya » et « Chélo Assani Chifh’a » en disant le nom d’Hachem.
Si une femme a oublié de dire les Berakhot du matin, à partir du moment où elle a fait la Amida, la Berakha de « Elokaï Nechama », ne pourra plus être récitée, mais toutes les autres pourront être dites. A postériori les Berakhot du matin pourront être récitées toute la journée.
Dès qu’on ouvre les yeux, avant même de faire Netilat Yadaïm, on doit dire « Modé Ani Léfanékha » où nous remercions Hachem de nous avoir rendu le souffle de vie : les femmes sont également tenues de Le remercier elles aussi, mais diront « Moda Ani ».
Les femmes ont l’obligation de dire les Birkot Hatora (Acher Bahar Banou…), car elles ont l’obligation d’étudier les lois les concernant, comme les règles de la Tefila ou des diverses bénédictions, les lois du chabbat, du prélèvement de la H’alla, de Nidda, de Hadlakat Nérot…. Selon tous les avis, une femme qui ne se souvient plus d’avoir récité Birkot Hatora, n’aura pas besoin de les redire.
KOL TOUV.
Traduction et adaptation par Rav F. Elbaze
Elles diront les bénédictions « Chélo Assani Goya » et « Chélo Assani Chifh’a » en disant le nom d’Hachem.
Si une femme a oublié de dire les Berakhot du matin, à partir du moment où elle a fait la Amida, la Berakha de « Elokaï Nechama », ne pourra plus être récitée, mais toutes les autres pourront être dites. A postériori les Berakhot du matin pourront être récitées toute la journée.
Dès qu’on ouvre les yeux, avant même de faire Netilat Yadaïm, on doit dire « Modé Ani Léfanékha » où nous remercions Hachem de nous avoir rendu le souffle de vie : les femmes sont également tenues de Le remercier elles aussi, mais diront « Moda Ani ».
Les femmes ont l’obligation de dire les Birkot Hatora (Acher Bahar Banou…), car elles ont l’obligation d’étudier les lois les concernant, comme les règles de la Tefila ou des diverses bénédictions, les lois du chabbat, du prélèvement de la H’alla, de Nidda, de Hadlakat Nérot…. Selon tous les avis, une femme qui ne se souvient plus d’avoir récité Birkot Hatora, n’aura pas besoin de les redire.
KOL TOUV.
Traduction et adaptation par Rav F. Elbaze
Libellés : halakha, rav Ovadia Yossef
<< Accueil